mardi 23 octobre 2018

La Candidate : "du sang...de l'ancre"


Jacques Nicolas Jr., petit fils du regretté Léopold Nicolas, grand homme de paix, visionnaire de son époque. Léopold était le seul dans sa famille qui savait qu'ils vivaient sur un trésors, son père et sa mère étaient tous deux analphabètes, il était le cadet d'une famille de six enfants. Avant que la ville, «La Monarchie», s’appelait ainsi, c'était une petite communauté, les habitants étaient en grande majorité des cultivateurs, et ils étaient tous de la même famille, la famille Nicolas.

Le premier maire de la petite communauté était Léopold, sa façon de défendre le pays était adorable, un patriote dans l'âme, il s'engageait beaucoup socialement, il avait la connaissance de ses droits comme de ses devoirs, son respect pour l’environnement, pour la démocratie, c'était un citoyen du monde, ouvert et solidaire, alors tout ça faisait de lui l'homme le plus aimé de la petite communauté.

Claude figure emblématique, grand journaliste de gauche, se demanda toujours :
- "Comment Léopold Nicolas, a pu mettre au monde un tel monstre, il fait de la politique uniquement pour son intérêt". Après qu'il eut demandé publiquement aux gens de ne pas réélire Jacques Nicolas, il a été assassiné violemment. Ces dernières paroles en onde nous laisse croire qu'il savait que sa vie était en danger : " Cher auditeur, chère auditrice, je sais que vous êtes nombreux a m'écouter religieusement tout les jours, aujourd'hui je vais faire une chose que je n'ai jamais faite pendant mes 25 ans de carrière et j’espère que ce sera la dernière fois que j'aurai a le faire. Je tiens a le faire, parce que l'heure est plus grave que je le croyais. Ne votez pas pour Jacques Nicolas, cet homme est un vendu, il ne travail pas dans l'intérêt de la collectivité, il travail uniquement pour son intérêt et l’intérêt de ses petits amis, parmi eux les pétroliers, il s’en fou de l'environnement, il n'a aucun respect pour la démocratie. Il va continuer a vendre tout nos terres. Ne remettez pas le destin de notre belle communauté entre les mains d'un bandit, car tout ceux qui volent notre argent, qui ne respectent pas nos lois, je les considèrent tous, comme des bandits, des criminelles, qu'il soit un élu ou pas. Et avec sa bonne humeur comme d'habitude, il poursuivra : "si je meurs aujourd'hui, sachez que je suis immortel". Du sang...

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